Débat sur l’enseignement supérieur privé au Parlement : la Fesic en première ligne pour promouvoir le supérieur associatif en contrat

Le 11 octobre dernier, à l’invitation de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication du Sénat, Philippe CHOQUET, président de la Fesic et Laurent CHAMPANEY, président de la Conférence des grandes écoles (CGE) ont été invités à s’exprimer sur le développement de l’enseignement supérieur privé lucratif. Ils ont appelé à davantage de régulation d’un secteur dont ils ont pu pointer certaines dérives ainsi qu’un moindre contrôle de la qualité des formations et des établissements.

« Nous voulons appréhender les conséquences des évolutions au sein de l’ESR, comprendre les tensions qui sont apparues ces derniers mois, pour ensuite tenter de répondre aux questions des familles qui sont parfois dans l’incompréhension, voire le désarroi »

Laurent LAFON, président de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication du Sénat

Cette audition, dans le cadre du débat sur le développement de l’enseignement supérieur privé lucratif, a été très largement visionnée et relayée dans la presse spécialisée. Elle a été l’occasion pour la Fesic de rappeler la distinction entre le supérieur privé en contrat avec l’État (EESPIG), participant aux mêmes missions de service public et contrôlé sur le même cahier des charges que les établissements publics, du privé hors contrat. Revoir l’audition ici.

Cette position et la demande de régulation du privé hors contrat ont également été présentées dans le cadre de l’audition de la fédération par la mission d’information sur l’enseignement supérieur privé lucratif de l’Assemblée nationale en novembre dernier, dont les députées Béatrice DESCAMPS (Liot, Nord) et Estelle FOLEST (Modem, Val d’Oise) sont corapporteuses.

X